La névralgie du trijumeau (TN) est un trouble de l'humeur. tic douloureux qui se traduit par une douleur chronique et neuropathique affectant le nerf trijumeau ou le cinquième nerf crânien.l'un des nerfs les plus répandus dans la tête. Il s'agit d'une douleur neuropathique, c'est-à-dire d'une douleur associée à une lésion nerveuse. La forme classique ou de type 1 de la maladie provoque une douleur faciale soudaine et extrême, semblable à une brûlure ou à un choc, qui dure de quelques secondes à deux minutes par épisode. Ces crises peuvent se succéder rapidement et durer jusqu'à deux heures. La forme atypique de la maladie, appelée type 2, se caractérise par une douleur constante d'une intensité légèrement inférieure à celle du type 1. Les deux formes de douleur peuvent survenir chez la même personne, parfois en même temps. L'intensité de la douleur peut être physiquement et mentalement invalidante.

La névralgie du trijumeau est associée à diverses affections. La névralgie trigéminale peut être causée par la pression d'un vaisseau sanguin sur le nerf trijumeau à sa sortie du tronc cérébral. Cette compression entraîne une usure ou une détérioration de la couche protectrice qui entoure le nerf (la gaine de myéline : la couche isolante, ou gaine, qui se forme autour des nerfs, y compris ceux du cerveau).

Traitement de la névralgie du trijumeau par la lidocaïne

Selon une nouvelle étude publiée dans la revue The Annals of Pharmacotherapy, Pour les patients qui ne tolèrent pas ou refusent d'autres thérapies pour traiter la névralgie du trijumeau, un emplâtre ou un patch adhésif médicamenteux à la lidocaïne (LMP) peut être une option thérapeutique.. La lidocaïne ou xylocaïne est un médicament appartenant à la famille des anesthésiques locaux, notamment de type aminoamide.

L'utilisation des PML pour traiter les crises de douleur a entraîné une réduction du nombre de paroxysmes de douleur, ce qui a conduit les chercheurs à conclure que les PML peuvent être une option viable pour les patients qui n'ont pas d'autre solution. En outre, les chercheurs pensent que les effets de la PML peuvent durer au-delà de la pharmacocinétique du médicament, en diminuant la façon dont la douleur est amplifiée dans le système nerveux central.